Conférence politique de l’AUSACO : Visite des participants au port Dakhla Atlantique
Les participants à la deuxième Policy Conference de la Coalition pour l’Autonomie au Sahara (AUSACO) ont effectué, mercredi, une visite au port Dakhla Atlantique, au terme des travaux de cette rencontre académique.
À cette occasion, les participants ont souligné que ce méga projet contribuera de manière concrète à la réalisation du plan d’action de l’Initiative Royale Atlantique visant à ouvrir de nouvelles perspectives aux pays sahélo-sahariens et à impulser une dynamique économique régionale durable.
Ils ont salué les efforts consentis par le Royaume en matière de développement des provinces du Sud, ainsi que la portée continentale de l’Initiative Royale Atlantique et de ses trois projets structurants, à savoir le gazoduc Maroc-Nigeria, l’Initiative favorisant l’accès des pays du Sahel à l’océan Atlantique et l’Initiative de la Façade Atlantique.
Les participants ont affirmé, par ailleurs, que le règlement de la question du Sahara marocain offre une opportunité réelle pour accélérer le développement local, régional et continental, tout en favorisant une meilleure intégration dans l’espace sahélo-saharien.
Cette visite a permis de faire la lumière sur les projets structurants en cours dans les provinces du sud du Royaume, témoignant de la dynamique de développement soutenue en cours dans la région, dans le cadre du Nouveau modèle de développement des provinces du Sud.
Ce modèle ambitieux se propose de faire du Sahara marocain un vecteur de prospérité, de stabilité et d’intégration à l’échelle du continent africain.
Le port Dakhla Atlantique constitue l’un des projets phares de l’Initiative de la Façade Atlantique, inscrite dans le cadre de l’Initiative Royale pour l’Atlantique, lancée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI à l’occasion du 48ème anniversaire de la Marche Verte.
Ce chantier stratégique vise à renforcer les infrastructures logistiques du Royaume, améliorer la connectivité régionale et dynamiser les échanges commerciaux, tout en consolidant l’intégration économique du Maroc dans son environnement africain.
